Le département demeure plus que jamais l’échelon d’intervention le plus pertinent pour garantir aux habitants des Bouches-du-Rhône solidarité et équité.
Face à la tourmente économique et sociale qui affecte durablement les familles et les acteurs économiques, la majorité départementale poursuit avec conviction et engagement une politique volontariste.
La solidarité, la proximité et la confiance sont les piliers autour desquels s’est articulée notre action.
Vous pouvez télécharger en cliquant ici (4,5 Mo .pdf) le bilan qui fait le point de nos actions et de nos promesses tenues.
Il vous sera utile pour comprendre le rôle des Conseillers Généraux
Billets libellés bouches-du-rhone
Au Conseil général des Bouches-du-Rhône, engagements tenus !
Canton des Cinq-Avenues à Marseille : je suis candidate pour être au plus proche de vos préoccupations, pour que l’avenir soit porteur d’espoir
Depuis quelques années, je suis votre conseillère générale. Vous m’avez renouvelé votre confiance à plusieurs reprises, je vous en remercie. J’ai donc eu la chance de développer avec vous des rapports francs et directs.
La vie politique française a besoin de rénovation. Les citoyens qui doutent de la politique ont besoin de signes forts, d’engagements précis, de comportements publics transparents.
Vous le savez, c’est cette élue là que je m’efforce d’être.
Je mesure le travail que j’ai accompli mais aussi, sans tabou et sans complaisance, les difficultés que j’ai dû vaincre pour continuer à avancer.
Aujourd’hui, il reste tant à faire !
C’est pourquoi, j’ai décidé de me présenter à vos suffrages lors des prochaines élections cantonales des 20 et 27 mars 2011.
La détermination qui m’a animée durant ces années, j’entends la conserver pour l’avenir.
A la tête du département, la gauche a mené une politique de solidarité inédite et innovante en développant des actions concrètes à l’intention de chacune et chacun d’entre vous.
Et sans augmentation des impôts depuis 5 ans.
Notre bilan est bon, le travail accompli unanimement reconnu.
Avec vous, je veux pouvoir poursuivre.
Personne ne le fera à ma place.
Surtout pas la droite trop occupée, au gouvernement, à démanteler notre protection sociale, à rogner nos retraites, à siphonner notre système de santé, à supprimer des postes d’enseignants et de policiers… au risque de mettre à mal les valeurs fondamentales de notre République. Une politique relayée à Marseille par les élus UMP.
Les services publics de proximité, aujourd’hui, c’est votre Conseil général qui, de plus en plus seul, les assume.
Les français sont inquiets. Face à cette inquiétude, dans la souffrance pour certains, il y a le risque du repli sur soi.
Mais la droite ne redoute pas cette indifférence. Au contraire, ce qu’elle craint c’est que la France qui va mal le lui dise en face les 20 et 27 mars prochains.
Durant les semaines qui arrivent nous aurons l’occasion de nous rencontrer et d’échanger sur les nombreux projets que je propose pour nos quartiers, confirmant ainsi l’engagement que je me suis toujours fixé : être au plus proche de vos préoccupations pour que l’avenir soit porteur d’espoir.
Pour vous, avec vous.
Pour me contacter : Tél : 0634.021.226 – carlotticantonales2011 @ gmail.com – Impasse Fissiaux, Immeuble Central Parc, 13004 Marseille
Oui, Fralib doit vivre !
En début de semaine, les salariés de l’usine FRALIB ont proposé de reprendre l’activité de production d’infusions L’Eléphant et de thés Lipton sur le site de Gémenos (Bouches-du-Rhône) promis à la fermeture, une proposition rejetée par le groupe néerlandais Unilever.
182 salariés sont directement menacés de chômage en 2011. Le Gouvernement doit prendre ses responsabilités afin de sauver l’avenir de l’entreprise.
Les responsables locaux doivent être aux côtés des salariés avec le même courage et la même détermination dont font preuve les « FRALIB » afin de défendre la marque et un savoir-faire vieux de 78 ans.
Le groupe Unilever ne peut décemment pas fermer l’usine de Gémenos, groupe qui a annoncé le rachat en septembre dernier, de l’américain Alberto Culver pour 3,7 milliards de dollars !
Dans un contexte économique extrêmement tendu, au moment où le chômage redevient la première préoccupation des français, le groupe Unilever doit soit revenir sur sa décision, soit tenir compte de la nouvelle proposition des salariés en accompagnant une reprise.
Il en a les moyens financiers, il en a le devoir moral.
Mes précédents articles sur ce sujet :
- Fralib : une table ronde et une mobilisation qui se poursuit
- FRALIB : 182 salariés luttent pour le maintien de leurs emplois
- Fralib, solidarités avec les salariés.
Fralib : une table ronde et une mobilisation qui se poursuit
Le 5 novembre dernier, Jean-Noël Guérini (PS) et sa majorité départementale ont voté une motion de solidarité aux salariés de l’usine Fralib de Gémenos, qui luttent pour conserver leurs emplois.
Nous avons demandé à l’Etat d’organiser une table ronde en présence des dirigeants français et européens d’UNILEVER, table ronde où le Conseil général souhaitait être associé. J’ai donc représenté le président du département à la table ronde organisée ce vendredi 26 novembre 2010 par le Préfet Hugues Parant.
A cette occasion, j’ai rappelé notre volonté de ne pas fragiliser encore un peu plus l’économie de notre département, avec la fermeture de cette usine, rappelant que le groupe Unilever venait de faire de coûteuses acquisitions (annonce fin septembre d’un accord pour racheter Alberto Culver, un fabricant de produits capillaires basé aux Etats-Unis. Coût de l’acquisition : 2,7 milliards d’euros). Au regard de cette dépense, on peut légitimement comprendre que la fermeture de Fralib passe très mal !
J’ai aussi rappelé que nous n’étions pas là pour parler d’un plan social, mais bien pour parler des solutions pour conserver les emplois des 182 salariés et pérenniser l’activité de l’entreprise.
Après plus de deux heures de discussions et devant l’entêtement des représentants d’Unilever, le Préfet a proposé la mise en place rapide d’un « groupe de contact » composé de représentants des salariés et du groupe Unilever afin d’envisager toutes les solutions possibles pour le maintien de l’activité industrielle à Gémenos.
Cette proposition est une solution à tenter qui permet de ne pas rompre le dialogue, mais malheureusement, il semble que la volonté d’ouverture des représentants d’Unilever soit très limitée.
A la sortie de la réunion, je suis allée saluer les salariés postés devant la Préfecture qui attendaient dans un froid glacial, l’issue de cette réunion…
Le combat continue.
Mes précédents articles sur ce sujet :
- FRALIB : 182 salariés luttent pour le maintien de leurs emplois
- Fralib, solidarités avec les salariés.
Rapport Versini : 2 millions d’enfants pauvres et pourtant…
Dans son dernier rapport sur la pauvreté en France, la Défenseure des enfants Dominique Versini pointe les conséquences graves de la précarité des familles sur leurs enfants, en particulier en matière de santé et de scolarité. « La précarité touche près de 2 millions d’enfants, dont les familles vivent (…) sous le seuil de pauvreté qui est défini par l’Insee à 950 euros par mois». Un constat insupportable et pourtant, le Gouvernement semble vouloir supprimer le poste de Défenseure des enfants.
Une drôle de façon pour Nicolas Sarkozy et ses Ministres UMP de protéger nos enfants !
Je rappelle aussi que le Parti socialiste demande qu’un Secrétariat d’Etat dédié aux 17 millions de familles françaises soit rétabli et qu’une réelle politique de protection de l’enfance soit mise en oeuvre comme l’a demandé l’ONU pour la dernière fois en 2009.
De retour de l’Université d’été du Parti socialiste !
De retour de La Rochelle où se tenait l’Université d’été du Parti socialiste, voici mon sentiment sur l’ambiance de ces trois jours…
Ce 12 mars, les enseignants et leurs élèves expriment leur « ras le bol »
Comme je les comprends!
Le gouvernement en multipliant les réformes régressives veut transformer radicalement notre systhème éducatif. Non pas pour l’amèliorer mais pour le démanteler. Comment s’y prend-il?
Moins d’encadrement pour les élèves, car au nom du dogme du « non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite », 16 000 postes d’enseignants ont été supprimés cette année dont 89 dans le département des Bouches-du-Rhône. Et encore 16 400 à la rentrée prochaine ! D’ou des classes de plus en plus chargées, de moins en moins de remplacements, un accroissement de la charge de travail des personnels et une détèrioration des conditions d’étude pour les élèves. Mais que veut le gouvernement? Casser le droit à l’Education, comme il casse le droit au travail, le droit à la santé, l’accés aux services publics… Et le pire est encore à venir quant à la nouvelle réforme des retraites.
Refusons l’inacceptable !
Ensemble faisons reculer le gouvernement en lui adressant un message clair et en lui montrant qu’il est en décalage avec les aspirations des citotens.
Disons « non « à la politique de Nicolas Sarkozy en votant Socialiste.
Une réforme territoriale qui risque de compliquer la vie des citoyens
Afin de mieux comprendre la situation, voici six questions sur la réforme des collectivités territoriales et mes réponses :
1) L’un des axes de la réforme est la suppression de la clause de compétence générale. A quoi sert cette clause ?
Elle nous permet de prendre des initiatives en fonction du contexte local.
Par exemple dans le département des Bouches-du-Rhône, nous agissons en matière de santé publique en aidant nos hôpitaux à acquérir des équipements de pointe, en luttant contre la fracture numérique grâce à l’opération « Ordina 13 ». Tout cela et bien d’autres actions seront interdites si on supprime cette clause. Nous devrons même cesser de subventionner les associations alors que nous en aidons aujourd’hui plus de 7000 avec un budget de 80 Millions d’euros.
2) Le Département est le premier financeur des communes, comment va-t-il continuer à l’être ?
Le gouvernement veut couper le lien naturel qui unit communes et Département. Or la plupart des communes des Bouches-du-Rhône, en particulier Marseille, ne pourront assumer seules le cout des équipements dont elles ont besoin : une crèche, un transport en commun, une route. Qui va les aider ? L’Etat ? Alors qu’il cumule un déficit de 138 milliards d’euros !
3) Vous êtes opposée à la suppression de la taxe professionnelle ? Pourquoi ?
Ne soyons pas naïfs ! La Cotisation économique territoriale annoncée ne compensera jamais la TP qui était la principale ressource des collectivités. L’Etat nous transfère sans cesse de nouvelles charges : entretien des routes nationales, personnel des collèges…..cette suppression de la TP est donc aberrante. En plus c’est un contre sens économique car sa suppression va transférer le poids de l’impôt sur les seules familles.
4) Le gouvernement dit que les collectivités dépensent trop, qu’il faut les « mettre à la diète » ?
Il faut traduire cette expression par « réduire les services aux citoyens ». Normal pour un gouvernement qui supprime des hôpitaux, ferme des bureaux de poste ou des tribunaux.
En fait, on veut nous contraindre à faire des choix impossibles : moins de transports en commun, moins d’aide aux personnes âgées ? Moins de protection contre les incendies ? Moins de cultures ? Moins de sécurité sur les routes ? Moins de logements sociaux ? Les Collectivités locales investissent pour le mieux vivre des citoyens. Regardez les collèges dont s’occupent le Département depuis 20 ans, ils sont beaux, fonctionnels et respectueux de l’environnement. Le Collège Longchamp qui fait entièrement peau neuve, qui va couter 26 127 000 euros au Conseil Général, va embellir notre quartier.
5) Depuis 30 ans, l’Etat transfère des responsabilités aux Départements, là c’est une marche arrière ?
L’Etat nous a confié ce qu’il y a de plus sensible : protection de l’enfance, insertion, services d’incendie et de secours, aide aux personnes handicapées et aux personnes âgées dépendantes… Maintenant il veut nous supprimer. Où est la logique ?
6) Cette réforme est un peu technique, comment intéresser les citoyens ?
On essaye de faire croire qu’elle est purement technique. On argumente avec des propos démagogiques : « on va supprimer la moitié des élus et tout ira mieux ». Avec un élu pour 40 000 habitants, on va perdre en proximité, c’est évident. La vérité c’est qu’on veut tuer la décentralisation et le mobile est idéologique : réduire à néant un héritage de la gauche, reconcentrer le pouvoir à Paris en mettant les collectivités sous tutelle financière et politique. Cette réforme, si elle passe, aura un impact considérable sur la vie quotidienne des citoyens. Le gouvernement pense que les français ne réagiront pas, c’est faux. Un sondage récent comptabilise 83 % d’opposants à la disparition des Départements. C’est pour cela que je soutien l’idée d’un référendum. Si le gouvernement est sur du soutien de français, pourquoi ne le fait-il pas ?
Collège Les Chartreux : une enseignante insultée sur Facebook
La Provence de ce matin fait sa Une sur « la prof qui poursuit ses élèves en justice » au Collège Les Chartreux. De nombreux médias s’en sont fait l’écho.
Une enseignante a été, en effet, diffamée sur « Facebook », où des collégiens ont créé un groupe pour la dénigrer et l’injurier.
Je veux exprimer tout mon soutien à cette professeure qui mérite le plus grand respect.
Respect de la part de l’Education Nationale qui traite mal une profession portant indispensable à notre société.
Respect de la part des élèves qui sans cette Ecole de la République ne pourraient accéder à la connaissance et se préparer à l’avenir.
Mais les dossiers pour injures, diffamation, atteinte à l’image sont de plus en plus fréquents avec le développement d’internet et souvent les professeurs en font les frais. Nous nous souvenons du site lancé en janvier 2008 qui proposait aux élèves de noter leurs enseignants. Cela avait, à juste titre, provoqué beaucoup de polémiques.
Ce n’est donc pas l’apanage du Collège Les Chartreux !
Le Net est un formidable vecteur de communication, mais il peut-etre extrêmement dangereux.
Ces collégiens, sans histoire, plutôt bons élèves, ont pris conscience de la gravité de leurs actes qu’une fois la sanction disciplinaire tombée.
La direction du collège a réagi très vite. Avec l’aide du Conseil général des Bouches-du-Rhône, qui finance des projets pédagogiques, une formation sur « Internet et le Droit » sera généralisée dans l’établissement. Comment faut-il se servir de cet outil, quels en sont les risques et si faute est commise, quelles en sont les conséquences judiciaires ?
Je me rends souvent au Collège Les Chartreux, je suis membre de son Conseil d’Administration, j’ai suivi sa reconstruction qui en a fait un très bel établissement et je connais la qualité de ses enseignants. Je veux, s’il en était besoin, rassurer les parents d’élèves et leur dire qu’aux Chartreux leurs enfants sont dans bon collège.