Le meurtre de sang froid dont ont été victimes 3 enfants et 1 enseignant à Toulouse est abject et inqualifiable.
Nous ne pouvons accepter que sur notre territoire, dans notre République, nos enfants soient victimes de tels actes de barbarie.
L’auteur ou les auteurs devront être punis de la manière la plus exemplaire.
Je m’associe à la douleur des familles et leur adresse avec beaucoup d’émotion mes condoléances, ainsi que toute mon amitié à la communauté juive durement touchée.
Billets dans la catégorie Les communiqués de presse
Tuerie de Toulouse : réaction de Marie-Arlette CARLOTTI face à l’ignoble
A Marseille, le 17 mars, faites le changement !
Samedi 17 mars 2012, Marie-Arlette Carlotti membre de l’équipe nationale de campagne de François Hollande participera à la journée de mobilisation. Accompagnée de militants, elle ira à la rencontre des citoyens.
« J’invite à nous rejoindre toutes celles et ceux qui aspirent au changement. Le grand enjeu de cette mobilisation exceptionnelle sera de sensibiliser notamment les abstentionnistes, en allant à leur rencontre durant le mois de campagne qui reste » a déclaré Marie-Arlette Carlotti.
Le rendez-vous est fixé samedi 17 mars à 9h30, impasse Fissiaux (quartier 5 avenues) dans le 4ème arrondissement de Marseille.
La parité : la crédibilité par la preuve !
L’UMP, à travers la député Marie-Jo Zimmermann, a bien maladroitement lancé une nouvelle polémique cette fois-ci sur le sujet de la parité. Il s’agit là d’un sujet sur lequel la droite gagnerait à se faire discrète tant son bilan en la matière est famélique.
L’UMP est en effet le champion toutes catégories du non respect de la parité. En 2008, l’UMP payait à elle seule quatre cinquièmes de la pénalité financière essuyée par les partis politiques réfractaires, soit plus de 4 millions d’euros. En 2012, le PS présente 50% de femmes candidates aux législatives, quand l’UMP n’en présente que 28% et s’accroche à son titre de cancre de la parité.
François Hollande, s’il est élu, a la volonté de renouer avec le combat pour la parité partout. Cela passera d’abord par un gouvernement paritaire, et il s’y est fermement engagé.
Les socialistes ont donné l’exemple en faisant confiance aux femmes, et ils continueront dans cette voie. Ainsi, Elisabeth Guigou a été la première femme garde des Sceaux en France, Martine Aubry dirige le Parti socialiste, la seule Première ministre que la France ait connue, Edith Cresson, est socialiste, et Ségolène Royal a représenté les socialistes lors de la dernière campagne présidentielle.
La parité est un enjeu démocratique vital. C’est une fin autant qu’un moyen, au service de l’égalité entre les femmes et les hommes. François Hollande fait de cette bataille un axe fort de son projet. C’est pourquoi il rétablira un ministère de plein exercice des Droits des Femmes, comme l’avait fait François Mitterrand pour la 1ère fois en confiant cette responsabilité à Yvette Roudy.
Marie-Arlette Carlotti, Responsable du Pôle Egalité femmes/hommes
Communiqué du samedi 3 mars 2012
Meeting de Nicolas Sarkozy : réaction de Marie-Arlette Carlotti
Nicolas Sarkozy aime la France ? mais il parle d’une France du passé, une France dépassée.
Il n’aime pas les français.
Il ne sait pas s’adresser à eux et n’a rien proposé pour changer leur quotidien.
Aux jeunes, il demande des efforts sans leur proposer de perspectives.
Aux salariés, il ressort son slogan éculé du « travailler plus » alors que le pouvoir d’achat est en berne et qu’il y a 1000 chômeurs de plus tous les jours.
Nicolas Sarkozy s’est contenté de pilonner François Hollande sans le citer et de caricaturer son projet. Le Président sortant n’est pas à la hauteur de l’enjeu.
Nicolas Sarkozy n’a jamais parlé de Marseille, ne s’est jamais adressé aux marseillais :
- à ces enseignants qui étaient dans la rue il y a quelques jours pour protester contre les 500 suppressions de postes en PACA à la prochaine rentrée scolaire,
- aux parents d’élèves qui ont du retirer leurs enfants de l’école parce que les classes n’étaient pas chauffées,
- à ces marseillais qui cherchent un logement,
- à ces marseillais qui ont des difficultés à boucler les fins de mois.
Il dit vouloir regarder les salariés droit dans les yeux, qu’il regarde ceux de Fralib qui se battent pour sauver leurs emplois.
Nicolas Sarkozy manque de courage, n’assume pas son bilan et n’entend pas les 67% des français (Ifop-jdd) qui rejettent sa politique.
Meeting de l’UMP à Marseille le 19 février 2012… la ficelle est trop grosse !
Le Président sortant Nicolas Sarkozy semble avoir choisi Marseille pour faire son premier meeting de candidat. Il choisit une ville où 28 % de la polutation vit en dessous du seuil de pauvreté, où le chomage dépasse les 40 % dans certains quartiers et où les plans sociaux se succèdent. Il a condamné les jeunes générations à un avenir désespérant, il a fragilisé les couches moyennes et n’a pas réussi à rétablir la sécurité dans nos rues.
Alors que son rôle de Président aurait été de rassembler les Français, il stigmatise les fonctionnaires, il culpabilise les chômeurs et fait porter par l’étranger les raisons de son échec.
« La ficelle est trop grosse », s’il vient à Marseille ce sera avec des propos qui divisent pour tenter de récupérer les voix du Front National.
Fralib : une première victoire, le combat continue
Marie-Arlette Carlotti conseillère générale accompagnée par le député des Bouches-du-Rhône Henri Jibrayel s’est rendue samedi 19 novembre 2011 à Génemos sur le site de l’usine FRALIB (groupe Unilever), pour rencontrer les salariés en lutte pour conserver leurs emplois.
Avec eux, ils ont fêté la victoire après à la décision de justice annulant le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), préalable à la fermeture du site. Une victoire qui est un première étape.
En effet, la lutte pour le maintien de l’activité des Fralib à Gémenos continue. Marie-Arlette Carlotti et Henri Jibrayel appellent donc à un rassemblement à Paris, jeudi 24 novembre à 11h00 devant Maison de la recherche (métro Varennes, Paris 7°), où se tiendra ce jour là un comité de groupe d’Unilever France.
Appel pour une « cellule d’alerte précoce » pour lutter contre la désindustrialisation de notre département
Lyondellbasell, Fralib, NetCacao… la liste est longue, le département des Bouches-du-Rhône subit un lent processus de désindustrialisation qui frappe des centaines de salariés.
Marie-Arlette CARLOTTI invite le Conseil général des Bouches-du-Rhône à mettre en place «une cellule d’alerte précoce» avec les autres collectivités territoriales, la Chambre de Commerce et l’ensemble des organisations syndicales afin de soutenir plus efficacement et plus en amont les combats des salariés concernés.
Les élus locaux peuvent réfléchir sur les filières d’avenir et les moyens à mettre en œuvre.
Contraignons l’état à respecter ses engagements, puisque Nicolas SARKOZY a estimé que la suppression de la taxe professionnelle favoriseraient la réindustrialisations de la France.
Débat des Primaires : François Hollande au dessus de la mêlée !
Le premier débat des primaires socialistes a été d’une grande dignité. Nos candidats sont de qualités, mais François Hollande a été au dessus de la mêlée.
Il a démontré qu’il était d’un autre niveau. Il est présidentiable !
Réaction de Marie-Arlette Carlotti, à la mise en examen de Jean-Noël Guérini
Jean-Noël Guérini vient d’être mis en examen pour des motivations extrêmement graves. Etant très attachée à la présomption d’innocence, je considère que cette mise en examen ne vaut pas preuve de culpabilité. La justice doit suivre son cours dans la sérénité.
Je considère cependant que cet événement entache l’image du Parti socialiste comme celle du Conseil général des Bouches-du-Rhône, institution qu’il préside depuis plus de 10 ans.
Je m’adresse donc à lui pour lui demander non seulement de se mettre en retrait du Parti socialiste comme il vient de l’annoncer, mais également de démissionner de l’exécutif du Conseil général.
S’il ne démissionne pas, « la délégation temporaire » n’a aucun sens.
Engagé dans sa légitime défense, Jean-Noël Guerini ne pourra pas se consacrer entièrement à la gestion d’une institution telle que le Conseil général des Bouches-du-Rhône, dotée d’un budget de 2,4 milliards d’euros et de près de 2 millions d’habitants.
Comme élue et conseillère générale, je ne peux accepter que la collectivité, ses salariés et l’ensemble de ses élus puissent supporter un quelconque amalgame.
Nous élus du département, nous devons aux citoyens qui ont choisi une majorité de gauche au Conseil général des Bouches-du-Rhône, clarté, éthique et transparence.
Crise économique, chômage en hausse et pouvoir d’achat en chute libre, nos concitoyens attendent des responsables socialistes, à la fois des engagements, des réponses au quotidien et une vision d’avenir.
Nul doute que Jean-Noël Guérini saura prendre ses responsabilités, pour se défendre et protéger l’institution.