L’UNM a vécu.
Comme avant elle la CMR, et bien d’autres encore au fil d’un long déclin de la réparation navale à Marseille depuis plus de 30 ans.
C’est un immense gâchis.
Derrière cette nouvelle crise économique sociale sur le port de Marseille, deux questions majeures sont posées.
Celle, urgente, de l’avenir des 130 salariés – et des dizaines d’autres dans les entreprises sous-traitantes – dont les emplois sont menacés. Ce sont au total 500 familles qui sont concernées.
Celle, ensuite, de l’avenir de l’avenir du Port de Marseille, qui ne saurait se résumer au « tout touristique ». Ses outils et savoirs-faires industriels restent la clef de sa vocation de grand port européen et international. Ils doivent être préservés. PLUS »