Après l’abrogation début mai par le Conseil constitutionnel de l’article du code pénal qui caractérise et punit le harcèlement sexuel, j’avais porté plainte à Marseille pour trouble à l’ordre public et mise en danger délibéré des victimes du harcèlement sexuel.
Accompagnée de nombreuses associations féministes, cette plainte était un symbole fort. Je me réjouis de la décision très rapide du Premier ministre et de sa volonté de présenter un projet de loi dès le début de la nouvelle session parlementaire, un texte porté conjointement par la ministre de la Justice et la ministre des Droits des femmes.
Je me félicite de la détermination de l’équipe gouvernementale qui est à l’image de l’engagement du Président de la République pour faire de la lutte contre la violence faite aux femmes une de ses priorités.
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