Aujourd’hui, le Tribunal de Grande Instance de Marseille vient enfin de rétablir la vérité en prononçant ma relaxe.
Depuis deux ans, j’ai été attaquée au plus profond de mon engagement politique, par un personnage curieux, frustré de n’avoir pas été retenu sur ma liste lors des élections municipales de mars 2014 à Marseille.
Hacen Boukhelifa a cherché à me discréditer en remettant en cause le combat que je mène depuis toujours pour lutter contre le racisme, l’antisémitisme et toutes les formes de discriminations.
Depuis deux ans, j’ai choisi de garder le silence, afin de laisser la justice faire son travail en toute sérénité.
Je peux enfin tourner la page de deux ans de harcèlement et de calomnies, dont le seul objectif était de me salir.
Monsieur Boukhelifa a fait preuve d’une attitude irresponsable et dangereuse en incitant à la haine auprès de son entourage et sur les réseaux sociaux.
Je reste scandalisée d’une telle tentative d’instrumentalisation de la justice, alors qu’aujourd’hui notre République a plus que jamais besoin de retrouver son unité.