Le tribunal de commerce de Marseille vient de donner son accord sur le plan de reprise de notre quotidien « la Marseillaise » par les Editions des Fédérés.
Je me réjouis de cette décision qui témoigne de la survie et de la résistance d’une presse régionale indépendante, pourtant mal en point. C’est de notre liberté de pensée et d’expression dont il s’agit.
Je renouvelle mon soutien à toute l’équipe et j’ai une pensée particulière pour tous les salariés qui ont participé à cette aventure et qui en sont aujourd’hui sortis.
Je sais que tout a été fait pour sauvegarder l’emploi et faire vivre ce grand quotidien qui incarne à sa façon notre ville et notre région.
Il faut continuer à se battre pour la presse écrite et je ne peux que conseiller à chacun de faire comme moi en souscrivant un abonnement à la Marseillaise.